Trump vs the reptilian satanist illuminati

Feat: Sock wild. Sketch

Date: 18/19 Aout 2024

Lieu: Remoulins, Gard

La bataille finale

A Remoulins, la vérité éclate enfin au grand jour grâce aux artistes Sock et Rest4 du collectif OVB, qui, à travers leur fresque monumental, dévoilent au monde ce que ”les médias nous cachent” depuis trop longtemps  TRUMP VS THE REPTILIAN SATANIC ILLUMINATI, c’est bien plus qu’une simple peinture murale, c’est un document historique, un scoop intergalactique gravé dans le bétons!

D’un côté, le héros  que personne n’attendait, mais dont nous avions besoin: Donald Trump. Armé d’un revolver aussi massif que ses déclarations, il semble prêt à faire face à l’ultime menace qui plane sur l’humanité. Derrière lui, des explosions dignes d’un film de Michael Bay, parce que soyons honnêtes,  ce n’est pas une véritable bataille entre les forces du bien et du mal sans une pluie de météores.

De l’autre côté, l’ennemi ultime des forums internet et des chaînes youtube douteuses: un reptilien géant, sans doute membre de l’élite satanico-illuminati. Avec son armures high-tech, il est prêt à contrôler le monde, un complot à la fois. Ses yeux verts perçants vous fixent, comme pour dire “OUI, nous gouvernons depuis l’ombre et notre plan est presque accompli!”

Mais attendez, ce n’est pas tout! en arrière-plan, une scène qui pourrait sortir tout droit d’une réunion secrète dans un sous sol de Washington : des figures encapuchonnées, problalement des membres de l’élite mondialiste, se réunissent autour d’un feu mystique. L’atmosphère est digne des meilleurs conspirations, un mélange parfait de mystère et de terreur.

Avec des couleurs éclatantes et des détails si réalistes que vous pourriez presque entendre Trump crier ” YOU’RE FIRED!” au reptilien, cette fresque est un clin d’oeil génial à l’univers du complot. Sock et Rest4 réussissent avec humour et une bonne dose de second degré, à capturer l’essence même des théories les plus folles, Une oeuvre à ne pas manquer pour tous ceux qui savent “que la vérité est ailleurs”…